Attentats, les urgences en première ligne… ce soir à la télé sur France3


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capture écran France 3
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Il y a tout juste un an la France était sous le choc après les terribles attentats qui venaient de frapper le Stade de France, des bars des 10eme et 11eme arrondissement de Paris, mais aussi la salle de spectacle du Bataclan.

Un an après, France 3 diffuse le documentaire de Delphine Lopez et Camille Roperch. « Attentats, les urgences en première ligne » dans le cadre de l’émission « Notre histoire est politique ». Au programme notamment le témoignage de celles et ceux qui ont dû intervenir lors cette effroyable nuit d’horreur.

A suivre dès 20h55 sur France 3, en live streaming sur France 3.fr puis, un peu plus tard dans la soirée, en replay sur France TV PLUZZ.

Ils refusent la posture héroïque qu’on leur a souvent prêtée depuis le soir des attentats du 13 novembre 2015. Pourtant, médecins, infirmiers, soignants, urgentistes, pompiers de garde ou volontaires, ont travaillé cette nuit-là des heures entières pour sauver le plus grand nombre de vie.


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La plupart n’étaient pourtant pas prêts psychologiquement à affronter ces blessures de guerre. Mais qu’ont-ils vécu cette nuit-là ? Qu’ont-ils ressenti en soignant ces blessés de guerre dont la plupart avaient parfois le même âge et le même mode de vie qu’eux ?
Ces hommes et ces femmes ont surmonté la vision de ces corps mutilés en gardant leur sang-froid. Ils ont opéré, géré le débordement émotionnel et le désarroi des familles. Et depuis cette nuit, les prouesses mais aussi les blessures et les cicatrices de ceux qui ont pansé les plaies restent indélébiles. Ils ne sont pas des «surhommes», et ils ont accepté de témoigner de leur courage mais aussi de leurs angoisses et de leurs faiblesses. Des caméras ont été posées dans quatre hôpitaux parisiens : Saint-Antoine et Saint-Louis, proches des fusillades, ce sont les premiers hôpitaux à accueillir des blessés cette nuit-là ; l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière qui a reçu une cinquantaine de blessés dans un état très grave. L’hôpital militaire de Bégin à Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne où le personnel médical est formé depuis de nombreuses années à la médecine de guerre. Jusqu’à maintenant, ces hommes et ces femmes n’ont pas dévoilé aux médias les séquelles que cette soirée a laissé sur chacun d’entre eux. Ils ont accepté de nous confier l’avant et l’après, comment leur quotidien a été «atomisé».